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Vols de nuit et autres dérives
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4 avril 2008

"In the core of my heart, your ignorance is treason": The Raconteurs

Humeur actuelle : conquis

Ca fait quatre jours que je tiens dans mes mains le nouvel album des Raconteurs. "Consolers of the Lonely"


Pour ceux qui ne le savent pas encore, ce super groupe est constitué de Brendan Benson , Jack White (White Stripes), Jack Lawrence et Patrick Keeler (respectivement bassiste et batteur de The Greenhornes). Le premier album Broken Boy Soldier a planté un pavé au beau milieu de l’année 2006. Voilà le deuxième, arrivé de nulle part encore une fois. Annoncé seulement une semaine avant sa sortie mondiale.
Pour reprendre l’exclamation qu’un ami m’avait déjà lâché au sujet du brave Jack White, on dirait bien qu’ils ont collé du "Bon Scott’ dans leur petit déjeûner. Y a de ça.

Clairement y lâchage sur toute la ligne, rock and rollage à tous les étages.

C’est ça la musique populaire, c’est ça faire le rock!

Dans ces 14 morceaux, tout vient des tripes, tout y est, c’est incroyablement magique.

On ne sait plus à quelle époque on est et on s’en fout, on a le corps qui décolle qui s’envole et se laisse balader ou secouer au rythme du bon-vouloir de ces deux démoniaques compositeurs que sont Benson and White. Tiens ça sonne comme une bonne vieille marque de whisky, vingt ans d’âge.

Ce chant! Ce chant! L’un ou l’autre ou les deux en même temps, c’est jouissif, c’est parfait, leur harmonie vocale rappelle... hein qui? Quoi Benson fan des Beatles, des Beach boys et autres kinks, est passé maître ès pop-viens-là-que-j’t’embrouille-avec-mes-mélodies-jolies.

Ce groupe est le mélange parfait de tellement de choses que j’aime.

Les guitares passent toutes les étapes du rock, c’est l’odyssée de la six cordes. Quant à la section rythmique, elle te fout un putain de feu derrière, elle déroule le tapis rouge pour la rencontre parfaite des Beatles et de Led Zeppelin, pardon Benson and White.
Ils me mettent à genoux, je pète un câble si ils ne viennent pas à Rock en Seine
      

 

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