This one goes out to the one I love

Bon j'avais perdu l'envie d'écrire mais un retour en adolescence et retour de flammes me conduit à retaper sur ce blog. A rock en scène j'ai enfin vu REM en concert, ça faisait juste 24 ans que j'attendais de voir Mike Stipe sur scène et voir si vraiment il était la bête de scène que j'avais toujours imaginé.

Pour vous remettre le contexte. Personnellement REM j'avais arrêté avec Automatic for the People, album sorti en 1992, donc ça fait déjà 16 ans que je les regarde du coin de l'oeil déçu après les avoir avoir suivi quelques années hum hum... C'est vous dire si ils sont là depuis un bail, 81 avec Murmur et puis et puis...
J'ai presque aimé les morceaux du dernier album qui déjà avait des accents qui commençaient à me plaire de nouveau mais ce soir là, je me suis souvenue pourquoi j'avais tant aimé ce groupe. Quand on écoute aujourd'hui leurs plus belles perles des années 80, on hallucine de voir qu'elles sortiraient telles qu'elles aujourd'hui elles cartonneraient plus encore.

J'ai été simplement renversée par la simplicité du groupe sur scène, par le charisme incroyable d'un Stipe concentré, qui bouge comme un dieu, des harmonies vocales à vous tirer des larmes de joie tellement c'est beau. Merci REM je vous aimé, je vous garde avec moi,... finalement. Je ne reviendrais pas sur les albums que j'ai délaissés mais je replonge avec délice dans ceux qui ont marqué ma vie.

Comme par exemple Orange Crush sortie sur Green en 1988

ou encore The Finest Worksong sur Document en 1987

On continue de reculer dans le temps avec I Believe sur Lifes Rich Pageant en 1986

Juste un an avant c'était Fables of Reconstruction, 1985, avec le somptueux Driver 8

on approche de l'ultime avec Reckoning qui sort en 1982, deuxième album et déjà un album mythique avec ce single incroyable Pretty Persuasion

et enfin l'ultime le premier jet de Rapid Eye Movement, Murmur album qui sonne comme un album de 1981 mis avec deux tueries, une à vous mettre à genoux Perfect Circle, l'autre Radio Free Europe à vous convaincre que 28 ans d'albums arrivent devant

Evidemment j'ai un pincement au coeur pour Shiny Happy People mais qui ne l'a pas entendu sur toutes les ondes ou Losing my religion, et surtout l'énormissime Its the end of the world as you know it ( and I feel fine). Ecoutez les vieux REM je vous en supplie, ils sont tellement bons!